Partner
Handels- en Economisch Recht - Contract - OHADA Recht - Procedure en Arbitrage
Luca has been a member of the Brussels Bar since 2005.
Regarding European market exposure, Luca has, among others, been acting for several years as an external counsel for different countries of one of the world’s largest fashion retailers with several distinct brands. In this context, he supports E-commerce activities, advises on regulatory, compliance, consumer protection, market practices, and pro-actively monitors pertinent legal evolutions.
He conducts occasional legal secondment and handles complex litigation, leading national and international procedures and arbitrations. The experience acquired as a litigator, made him especially able in negotiating and drawing up terms and conditions and different kind of contracts and agreements.
Furthermore, Luca has more than 20 years of experience in the international business law with a focus on Africa, where he lived and worked.
Over these years, Luca has been advising, assisting and representing international clients wishing to structure their investments and activities in Africa as well as African-based clients wishing to expand their business overseas. In doing that, he has built up a significant experience across a wide range of economic sectors and naturally have become familiar with local dynamics and culture of different countries. This makes him able to drill down into specific local in-country issues.
He is particularly at ease in the fields of international sale of goods and commodities, distribution networks, retail, telecommunications, logistic and transports, infrastructures, renewable energy, agribusiness, to name a few.
He travels to Africa on a regular basis and he always is where the clients need him to be.
Publications:
Expertises
Droit Commercial et Économique
Propriété Intellectuelle (IP) – Privacy
Litiges et Arbitrage
Durabilité
Formation
Langues
17.07.2025
•Droit Commercial et Économique
L’omniprésence de la publicité pour les jeux de hasard – dans les médias audiovisuels, sur les plateformes numériques, lors d’événements sportifs et dans les espaces urbains – témoigne de son intégration profonde dans la vie publique. Cette présence constante représente un risque grave pour la santé publique et le bien-être social. En attirant de nouveaux joueurs, en incitant les joueurs existants à jouer plus souvent et plus intensément, et en augmentant le risque de rechute chez les personnes souffrant d’addiction au jeu, ce type de publicité alimente un cercle vicieux préoccupant. En outre, elle contribue à la banalisation du jeu en le présentant comme une activité de loisir inoffensive, socialement et culturellement acceptable. Cette image déformée rend le jeu plus attrayant et plus accessible, en particulier pour les groupes vulnérables tels que les mineurs, les jeunes adultes et les personnes souffrant de dépendance. Ce phénomène suscite une grande inquiétude, tant sur le plan individuel que sociétal. Le présent article examine le cadre juridique belge applicable à la publicité et au parrainage en matière de jeux de hasard, ainsi que les réactions et perspectives du secteur sportif et de l’industrie des jeux de hasard en Belgique.
11.07.2025
•Droit Commercial et Économique
06.03.2025
•Droit Commercial et Économique
Selon les données recueillies par Sciensano, avec une moyenne de 13,2 litres d’alcool consommés par personne et par an, la Belgique dépasse la moyenne européenne. Environ un belge sur six consomme des boissons alcoolisées en quantité excessive tandis que presque la moitié des jeunes commence à boire avant 16 ans. Ces habitudes se traduisent par une donnée affligeante : trois décès sur cent dans le Royaume sont causés par l’abus d’alcool. Pourtant en Belgique il n’existe aucune législation interdisant ou encadrant la publicité pour l’alcool. Les représentants des producteurs et distributeurs de boissons alcoolisées, de l’Horeca et des consommateurs, sous la houlette du Jury d’Ethique Publicitaire (ci-après, le « JEP »), organe d’autodiscipline du secteur publicitaire composé d’annonceurs, d’agences de publicité et de médias, se sont alors ligués pour pallier ce vide, en réglementant la matière de manière conventionnelle.